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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 06:30

Merci à Jadwiga pour l'info ci-dessous accomapagnée de ce mot : " Triste et prévisible...Et ce n'est pas fini ! Prions pour cette petite fille et pour ses parents, que ceux-ci puissent regarder avec amour leur enfant, et la recevoir comme un don."

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"La maternité régionale de Nancy est poursuivie par un couple pour "préjudice moral" pour avoir refusé de pratiquer une "interruption médicale de grossesse" (IMG).

 

En novembre 2008, alors que la jeune femme est enceinte de plus de cinq mois, un examen révèle que la petite fille attendue n'a pas d'avant-bras gauche (agénésie). Le couple demande une IMG auprès de la commission médicale du Centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal, laquelle refuse à deux reprises. Les médecins considèrent en effet que cette situation n'entre pas les critères donnés par la loi de bioéthique de 1994 pour justifier une IMG. Selon la loi, l'IMG jusqu'au terme de la grossesse est "envisagée au motif qu'il existe une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic". Le corps médical estime que l'agénésie constitue une anomalie foetale "intermédiaire" ne permettant pas de décider du bien-fondé d'une IMG.

 

L'avocat du couple, Maitre Hervé Brosseau, a déploré un "manque d'humanité" de la part de la maternité. Le Pr. Israël Nisand, gynécologue-obstétricien au CHU de Strasbourg, rappelle qu'il n'existe pas de liste de pathologies justifiant une IMG et que l'évaluation de la gravité d'une affection peut fluctuer selon la collectivité médicale. "Mais, ajoute-t-il, avec le développement des prothèses, on ne peut pas considérer qu'une agénésie soit une affection particulièrement grave, d'autant plus que les enfants qui naissent avec cette malformation compensent très bien leur handicap".

 

Après la naissance de la petite fille en mars 2009, les parents ont entamé des poursuites judiciaires contre la maternité de Nancy pour leur refus de pratiquer un avortement. Ils ont déposé une plainte au tribunal administratif qui a été rejetée en février dernier. Ils saisissent aujourd'hui la cour administrative d'appel, demandant 50 000 euros en réparation des "préjudices subis".

 

Source : le Quotidien du médecin (Coline Garré) 07/12/11 - Famili.fr 06/12/11 -

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 06:30

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Je connaissais "Indignations".

Je vous invite à  découvrir le site protestant   "Portes ouvertes" Et son rapport " Les des 50 pays où être chrétien coûte le plus".

Sur les 10 pays les plus persécuteurs on trouve la Corée du Nord, en tête.

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 15:29

"De jeunes étudiants demandent souvent des explications claires sur le sujet de la dette. Voici une petite vidéo éclairante de ce point de vue. L’auteur passe sur le point le plus important: la loi de 1973 qui est l’ARNAQUE par excellence réalisée par le cartel bancaire privé sur les Etats. Ce qui fait grossir la dette ce sont avant tout les intérêts de cette même dette. Et grâce à ce système imposé par le cartel et ses hommes de main que furent des politiciens et des économistes de l’époque des années 70, la dette ne peut que grossir démesurément jusqu’à la catastrophe…"

Source

 

Merci à Eric de cette info. Je ne suis pas spécialiste en économie mais j'ai compris !

 

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 14:38

Un bébé sauvé d’une malformation grâce à un robot

 

Une info qui me parvient à l'instant ( Merci à Gonzagues) : un bébé sauvé d’une malformation grâce à un robot !

 

Des chirurgiens du CHU de Limoges sont parvenus, en octobre dernier, à opérer un nouveau-né d’une malformation congénitale à l’aide d’un robot

L’intervention robotisée sur un bébé est une première en Europe. En octobre 2011, le professeur Fourcade, chirurgien viscéral au CHU de Limoges, et ses collaborateurs anesthésistes et infirmiers ont réalisé une opération inédite. « Une opération unique en Europe sur un nourrisson tout juste né », a annoncé le professeur à l’AFP. La petite fille, prénommée Louise, souffrait d’une malformation congénitale de l’œsophage appelée atrésie.

 

Un robot opérationnel dans l’urgence

Cette malformation se manifestait par l’interruption de l’œsophage, le « tube » qui relie normalement la bouche à l’estomac, et se terminait en cul-de-sac, empêchant ainsi les aliments d’atteindre l’organe. Environ un enfant sur 3 000 naît avec cette malformation qui touche autant les filles que les garçons, dans toutes les populations. En temps normal, l’opération s’effectue par une ouverture chirurgicale du thorax, mais cette fois, les médecins ont utilisé un robot chirurgical baptisé Da Vinci. La raison ? Le robot est plus précis, et a pu être opérationnel dans l’urgence.

 

Une réussite

Le professeur Fourcade a souhaité attendre deux mois et demi avant de révéler l’information, afin d’être certain que l’opération était une réussite. « C’est la première fois qu’un tel appareil est utilisé sur un si petit enfant », a-t-il précisé, heureux que l’opération se soit bien passée. « La petite Louise a pu être réalimentée huit jours seulement après l’opération et aujourd’hui elle va très bien », a t-il également précisé.

Photo CC @Photo d’illustration – chirurgiens hopital Necker

Mon Mag, Actus & Brèves

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 12:45

1001_couverture_petit.jpgMille et une expressions émaillent nos propos. Un livre nous en révèle les origines, dans un hommage gouailleur au “parler populaire”.

 

C’est un ouvrage robuste aux allures de dictionnaire. On en feuillette les pages, à la recherche de l’insolite. Plus de deux kilos d’explications sur les expressions que nous empruntons quotidiennement à la langue sans en connaître le sens. Leur date d’apparition, leurs origines, des explications, des contre-explications (pour celles dont l’acception porte au débat) et des définitions, le tout teinté d’humour et de références littéraires !

 

Pour abattre ce travail de titan (expression issue de la mythologie grecque, où les Titans entassèrent les trois montagnes les plus hautes de Grèce pour atteindre le ciel où Zeus s’était caché…), Georges Planelles a créé en 2005 un site Internet , Expressio.fr, et incité ses milliers de visiteurs à contribuer à l’oeuvre. Linguistes, passionnés et simples amoureux de la langue ont donc apporté leur pierre à l’édifice qui, une fois achevé, permet d'utiliser à bon escient (dont la racine scire, en latin signifie savoir) ces perles de la langue.

 

L’auteur, ingénieur devenu consultant indépendant en informatique, n’est pas un bleu (terme venant du fait que les conscrits nouvellement incorporés portaient une tenue de cette couleur au début du XIXe siècle). Il revendique pourtant une approche sans prétention, car « il n’est écrit nulle part que la culture doit impérativement être triste et austère » !

 

On y apprend ainsi que l’interjection “allô !”, utilisée pour débuter toutes nos conversations téléphoniques, vient de “haloo”, terme anglo-normand signifiant “poursuivre en criant” utilisé par les bergers normands installés dans l’Angleterre du XIe siècle pour rassembler leurs troupeaux. Son dérivé fut utilisé plus tard pour exprimer la surprise ou attirer l’attention à distance, avant de traverser l’Atlantique dès l’apparition du téléphone, en 1876.

 

Quant à l’argent qui, comme chacun sait, n’a pas d’odeur, on doit cette expression à l’instauration par l’empereur Vespasien d’une taxe pour renflouer (déjà !) les caisses de l’État en 69 après Jésus-Christ. L’impôt sur les urines était payable tous les quatre ans par les chefs de famille en fonction du nombre d’habitants vivant sous leur toit. Le peuple railla cette taxe et Titus, le fils de Vespasien, se fit l’écho de ces sarcasmes. Son père lui mit alors une pièce de monnaie sous le nez, en lançant un « pecunia non olet » (“l’argent n’a pas d’odeur”), qui traversa les âges.

La suite

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 06:30

Corpus Christi en 2001. Piss Christ, cet été en Avignon. Le spectacle de Romeo Castellucci sur le concept du visage de Dieu, récemment. Aujourd’hui Golgotha Picnic : le Christ se roule dans la matière fécale, tandis que de la plaie de son côté sortent des billets de banque. Le Crucifié est traité de « chien de pyromane », de « messie du sida »… Ces polémiques, mettant aux prises la création contemporaine subventionnée, et la figure du Christ bafoué, se multiplient et font la pâture des journaux.


Imaginez que vous remplaciez le visage de Jésus par la représentation d’un être cher, vous mesureriez le traumatisme que représente la vision de ces scènes profanatoires qui souillent la face de Celui en qui nous mettons notre amour. Ces blasphèmes sont une offense aux plus « petits », une violence gratuite qui leur est imposée. A nos propres péchés qui défigurent le visage de Jésus, s’ajoutent ici la moquerie et la dérision. Les mêmes caricatures faites sur la symbolique juive ou sur Mahomet auraient provoqué un tollé compréhensible. Certains ne s’étonnent guère de cette « discrimination positive » et à géométrie variable.

Ces agressions ne datent pas d’aujourd’hui. Elles ont commencé il y a 2000 ans sur la colline du Golgotha. Plus que toute autre religion, le christianisme a été vulnérable en ces représentations, à la différence de l’islam où il n’y a pas de portrait du prophète, ou du judaïsme qui interdit la figuration de Dieu. Dans la religion de l’Incarnation que nous professons, Dieu épouse la fragilité humaine, et le Christ insulté a pris le risque d’exposer son visage à ces provocateurs. Parce qu’il est « iconophile », le christianisme ne peut donc pas se dispenser d’endurer les agressions concernant les images de Jésus, figure centrale de notre foi dans laquelle se synthétise le message chrétien.


Ces créations artistiques, pour lesquelles on accorde souvent une attention médiatique surdimensionnée, si l’on prend en compte la médiocrité du spectacle (et qui misent sur le goût du scandale), interrogent la conscience morale des artistes. La dérision religieuse systématique met en péril le vivre ensemble. Toute liberté ne se définit-elle pas comme emportant en elle-même la liberté de l’autre, et donc du respect de sa conscience ?
Certains s’étonnent des réactions des catholiques, taxés « d’ultra-conservateurs » ; comme si à la limite, on voulait interdire aux chrétiens offensés, d’user de la même liberté d’expression pour se défendre, que celle dont ont bénéficié les artistes pour créer et exposer leurs œuvres, à renfort de subventions publiques, en oubliant au passage le principe de la sacro-sainte tolérance.

L’histoire de l’art témoigne que la dérision ouvre la porte, dans l’inconscient collectif, au mépris et à la ségrégation, voire à la persécution. S’en prendre au symbolisme sacré, c’est offenser notre identité la plus profonde et engendrer en retour la violence.

La suite via

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 07:30
logo.pdf.pngTransmettre ! Voilà certainement l’un des verbes les plus forts de notre belle langue française. Transmettre pour l’être humain, c’est laisser sa trace en ce monde, en ce qu’il est capable d’augmenter, d’enrichir,ou d’amputer, d’abîmer ce qu’il reçoit avant de le transmettre. A moins qu’il ne fasse le choix dramatique, qui est celui de notre temps, de ne rien transmettre du tout ! De détruire même dans l’esprit de ceux que l’on abandonne les mains vides, jusqu’au soupçon qu’ils aient pu être des héritiers ou que l’héritage en valût la peine !

Cheville ouvrière du débat sur l’identité nationale, Eric Besson avait affirmé le 5 janvier 2010 «  la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de français de souche, il n’y a qu’une France de métissage.»

Pas un peuple, la France ?
Sa première manifestation tangible et historique remonte au tout début du XIIIe siècle lorsqu’à l’appel de Philippe Auguste, l’ensemble des gens d’armes de toutes les communes de France sont venus grossir l’armée royale pour s’opposer ensemble à l’invasion par la coalition des autres nations européennes.


Pas une langue, la France ?
Mais n’est ce pas avec la cadence même de cette langue que la France lui a transmise que Monsieur le ministre peur se permettre de cracher dessus ! pas une langue, la France Villon, Ronsard, Pascal, Descartes, Molière, Racine, Balzac, Chateaubriand, Anatole France, Péguy, Bernanos, Montherland, Camus, Aragon …

Pas un territoire la France ?
Combien de millions d’hommes sont morts pour ce territoire ? Territoire qui, par l’ardeur du travail des paysans de France, est devenu le sol le plus fécond, une terre qui est aussi un jardin, territoire encore aujourd’hui le premier lieu de destinations du tourisme international.

Pas une religion, la France ?
Elle est pourtant née sur les fonds baptismaux de Clovis et possède parmi ses fils à peu près autant de saints que de communes. Elle est allée porter la bonne nouvelle de l’Evangile jusqu’aux extrémités de la terre et ses rois se sont considérés pendant 1000 ans comme des lieutenants de Jésus-Christ. Il n’est pas jusqu'aux valeurs « républicaines » auxquelles ses gouvernants se réfèrent pour apostasier, qui ne soient des « vertus chrétiennes devenues folles » !


Pourquoi ce tissu d’inepties, alors ?
Certainement parce ce que le débat auquel il préside et auquel le bon peuple « de souche » participe, révèle l'attachement de « la France d’en bas » à son identité, à sa personnalité nationale, à la richesse de son passé qu’elle pressent davantage peut-être qu’elle ne le connaît.
Parce que, aussi, la colère est à l’origine de cette déclaration absurde en forme de négation ; colère que suscite la constatation de l’existence de ce peuple que l’on nie, peuple qui ne se considère pas comme un conglomérat non-identifié et informe, et proteste de son existence et de cette identité qu’on lui conteste.

Forte et personnalisée, la France n’est pas un métissage, elle est une terre d’accueil et d’intégration. Et si ses dirigeants rechignent à la transmettre telle qu’en elle-même elle est, comme en toute bonne démocratie, le peuple s’en chargera !

Source : Edito de la revue "Permanences" , décembre 2009, Nicole Buron


Histoire & Cuture
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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 06:30
"Se former & Agir au service du bien commun" 

 

Vous aimeriez mieux connaître « ICHTUS au service de la cité » ? Vous désirez vous former sur les questions civiques et politiques, à la lumière de la pensée,de la culture et de l'histoire chrétiennes ? Vous ne savez pas toujours expliquer vos convictions ? Vous vous sentez intellectuellement tiraillés ? Vous trouvez qu’il est difficile aujourd’hui de savoir dans quelle direction avancer ou agir ?  Vous menez une action et vous souhaitez rencontrer des contacts utiles pour la dynamiser ? Vous souhaitez réfléchir à quels engagements prendre aujourd'hui dans la vie sociale ? Vous avez un projet ? 

 

Soirée d’information

Le 26 janvier 2012 - 20h30

 Annexe Saint Benoît de « l’ICES »

16 rue Luneau, La Roche sur Yon

 (face à la Chapelle de la miséricorde et du foyer Ste Thérèse

Inscriptions : 06.62.27.30.44

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 06:30

apostolat pour les nulsExtrémistes, ultras, fondamentalistes, intégristes…c’est dingue cette « richesse » ( ou cette « ringardise », au choix) de vocabulaire quand il s’agit de désigner les chrétiens qui s’indignent et protestent face aux dérives mercantiles, hédonistes, relativistes de la société et où le droit à l’anti-christianisme ( cf castellucci et consorts ou le hellfest ), qui plus est subventionné, est  supérieur au droit au respect.

 

Mais de quoi ont-ils si peur pour utiliser cette dialectique ? Dans quel monde et quelle démocratie  vivent-ils pour s’étonner que la protestation et l’indignation s’expriment, c’est vrai pas comme Hessel, encensé par ceux là mêmes qui  crient au scandale ? Quelle connaissance ont-ils du christianisme pour s’étonner qu’il pose des « oui » et des « non » ? Ces chrétiens qui font entendre leur voix seraient-ils des sous-citoyens parce qu’ils sont à contre courant ?

 

A force de brandir des « valeurs » ( que vaut une valeur quand tout se vaut ?) pour changer l’homme, celles et ceux qui ont des convictions, les vivent ( le mieux qu’ils le peuvent et non sans sacrifice) et croient que le bien, le beau et le vrai ne sont pas des idées creuses mais un chemin, exigeant quelquefois mais oh combien source de joie, pour le bien commun, comment pourraient-elles rester sur le bord de ce chemin et rester des spectateurs indifférents ou pire, complices de ce qui est moche, faux ou mal ?

 

Le travail ne manque pas pour redonner du sens à la vie personnelle et collective et il est écrit que les chrétiens n’ont pas pour vocation à ne pas participer activement à ce bien commun, même quand on les insulte !

 

Dans ce monde sécularisé où nombre d'« élites » sont de plus en plus empêtrés dans leurs idéologies et/ou davantage préoccupés par leur carrière ou leur bien être que du bien commun, les chrétiens, en particulier les laïcs, doivent avoir à coeur de prendre toutes leurs responsabilités et faire fructifier tous leurs talents !  

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 12:40

ndameparis.jpgHenri Tincq est un chroniqueur religieux connu.. Il dénonce avec justesse la confusion entretenue dans l'opinion publique.

Extrait :

"Raison de plus pour déplorer la confusion actuelle des esprits à propos des religions. Comme si celles-ci formaient un tout. Comme s'il ne fallait pas établir clairement des distinctions liées à leur nature, à leur histoire, à leurs dogmes. Le mot «religion» est devenu un mot passe-partout, un drapeau qui sert à couvrir toutes les marchandises, les plus belles et les plus odieuses, les plus édifiantes et les plus belliqueuses. Cette inflation de références brouille les esprits, sert à masquer soit l'ignorance, soit parfois la volonté de nuire..."

Lire l'article complet : http://www.slate.fr   via

Addendum suite au message de Brigitte : "Pour ma part, de la lecture de cet article,et c'est pourquoi j' ai fait écho, j'y ai vu une grande interpellation pour les catholiques :  de cette laïcité appauvrie et à vrai dire bien souvent anti religieuse, qu'est ce que les chrétiens vont en faire ? Puisqu'ils sont dépositaires de la religion de la Parole, que vont-ils faire de leur propre parole ? "

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Les Yeux Ouverts

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